Cette année, le premier jour du printemps tombe le 20 mars. Date à laquelle le jour et la nuit sont approximativement de même durée, et ce sur tous les points du globe. C'est l'équinoxe. Le Soleil se lève exactement à l'Est et se couche exactement à l'Ouest et celui-ci atteint une des deux intersections entre l'écliptique et l'équateur céleste : sa déclinaison est alors nulle.
C'est impressionnant, l'astronomie m'a toujours fascinée.
C'est impressionnant, l'astronomie m'a toujours fascinée.
Voici la nouvelle saison représentée sous forme d'allégorie féminine par Aglane : « Cette peinture magnifie la femme ainsi que le printemps. La nature renaissante, représentée par une très gracile jeune femme aux formes élégantes fait place aux miasmes de l'hiver.
Différents symboles encadrent la vestale qui a choisi une souche d'arbre reverdissante pour piédestal. Une branche nouvellement feuillue naît de son sein, les petits monstres de l'hiver, dérangés dans leurs sarabandes effrénées, s'engouffrent dans les profondeurs de la terre. Une tête d'enfant, aux boucles dorées (tête de l'enfant décédé de l'artiste), regarde avec ravissement l'extraordinaire phénomène de changement climatique. Sur le sol où quelques végétaux pointent, d'une écaille d'un œuf jaillissent des flammes en joyeuses touffes de lumière qui viennent lentement réchauffer les quelques flocons neigeux subsistants.
Un crâne, paradoxe dans cet univers naissant, est un timide rappel de l'éternel recommencement. »
La peinture aussi m'a toujours fascinée...
Différents symboles encadrent la vestale qui a choisi une souche d'arbre reverdissante pour piédestal. Une branche nouvellement feuillue naît de son sein, les petits monstres de l'hiver, dérangés dans leurs sarabandes effrénées, s'engouffrent dans les profondeurs de la terre. Une tête d'enfant, aux boucles dorées (tête de l'enfant décédé de l'artiste), regarde avec ravissement l'extraordinaire phénomène de changement climatique. Sur le sol où quelques végétaux pointent, d'une écaille d'un œuf jaillissent des flammes en joyeuses touffes de lumière qui viennent lentement réchauffer les quelques flocons neigeux subsistants.
Un crâne, paradoxe dans cet univers naissant, est un timide rappel de l'éternel recommencement. »
La peinture aussi m'a toujours fascinée...
2 commentaires:
Pour le dire vulgairement,
cette peinture que tu me fait découvrir m'a scotchée, l'effet produit qund on l'observe avec tes indications avisées est vraiment fascinant un peu comme la Vénus de Botticelli.
C'est sublime.
Petite précision : les indications comme tu le dis ne sont pas de moi mais récupéré sur un site spécialisé sur les tableaux qui lui même les a récupéré sur autre sans jamais donner l'auteur de ces quelque lignes. D'où les guillemets ; -)
Enregistrer un commentaire